TRANSPORTS • Les cinquante employés concernés craignent une péjoration de leurs conditions de travail et de la qualité des prestations.
Les CFF ne veulent plus de leur propre service de sécurité dans leurs trains. Les cinquante agents qui œuvrent dans les régions de Lausanne et de Zurich, afin de lutter contre les incivilités, ont été informés fin 2013 que leur mission n’allait plus être prise en charge par la régie publique. Une externalisation – nommée «One Security» – qui plonge les employés dans l’incertitude quant à leur futur et fait redouter une péjoration de leur conditions d’emploi et de la qualité des prestations.