SANTÉ • La loi française oblige désormais les frontaliers actifs à renoncer aux assurances privées. Le Groupement transfrontalier européen se dit satisfait des discussions avec Paris.
«Nous sommes satisfaits de ce que nous avons obtenu, confie Michel Charrat, président du Groupement transfrontalier européen (GTE). Nous avons eu ce que nous voulions, c’est-à-dire un régime spécifique pour les frontaliers.» Immense soulagement alors que la réforme qui vise à abandonner les assurances-maladie privées au profit de la Sécurité sociale française est entrée en vigueur le 1er juin 2014. Celle-ci a généré d’âpres négociations avec le Ministère français des affaires sociales et de la santé. Au cœur du problème?